Le jeudi 02 août dernier a eu lieu, à l’espace Royal Palace (Cocody-Riviera-Palmeraie), la finale de ‘’Danse avec SKY’’. Ce concours de danse a en effet opposé deux groupes de SKY GIRLS qui devaient faire preuve de cohésion et d’imagination selon la trame d’un film de sensibilisation contre le tabagisme et certaines propositions indécentes.
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Notons que SKY GIRLS est un mouvement d’empowerment pour la prévention antitabac pour les jeunes filles adolescentes (13 à 17 ans) en Afrique subsaharienne. Initiée par la Fondation Melinda et Bill Gates et pilotée par Good Business, une agence internationale spécialisée dans le changement social, la campagne existe depuis 10 ans en Afrique et est présente dans 6 pays.
Ce mouvement de soutien à l’éducation des adolescentes est représenté en Côte d’Ivoire par le Groupe Totem Expérience, agence de créativité digitale pour l’Afrique composée de deux hubs à Paris et Abidjan. A ce jour, 29 000 jeunes filles ont été touchées en milieu scolaire.
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Selon la cheffe projet Alya Kouamé qui fait les précisions suivantes : « Nous sommes le seul mouvement qui crée les conditions pour permettre aux jeunes filles de toucher les métiers d’avenir notamment le journalisme, métiers la chronique et biens de métiers d’avenir. À travers l’empowerment, nous donnons les outils nécessaires aux adolescentes pour opérer le bon choix, à ne pas être influençables vis-à-vis des vicissitudes de la société. »
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Ainsi, l’organisation revendique une trentaine d’ambassadrices. Parmi elles, Kouassi Danielle et Ariane Kouakou. Approchées, ces dernières affirment avoir opté pour SKY GIRLS « parce que les formations reçues à travers les apartés, les Cp show (émissions en ligne animées par les filles elles-mêmes, ndlr) ainsi que les échanges virtuels permettent de rester soi-même. De résister aux tentations liées à l’âge notamment le tabagisme et surtout de se forger une bonne éducation. »
Au regard des maux qui minent notre société, ce mouvement se présente comme une alternative pour les parents. Inprouvafrica recommande d’ailleurs aux parents d’inviter leurs progénitures à y adhérer.
Toubenit Amos