Il y a 2 ans jour pour jour. Soit le 14 novembre 2016, atterrissait sur les tables des points de vente, une bouteille verte au design singulier. Frappée d’une étiquette aux rebords brillants et surtout dominée par une tête d’éléphant. Une bière au naming distinctif avec pour ingrédient de base, les fines brisures de riz produit en terre ivoirienne. Ivoire, poussée par Brassivoire, faisait ainsi son entrée sur le marché de la bière en Côte d’Ivoire ; la révolution avec.
« Comme le Messie, arriva un jeune homme avec son bataillon armé de joie et de gaieté… » Deux contextes différents, exemple inapproprié diront d’autres. Mais l’entrée du ‘’président Douk Saga, créateur du Coupé-décalé sur la scène musicale a rimé avec cet extrait musical et les contours de l’atterrissage de la bière Ivoire dans le secteur brassicole, ont des points de similitudes sous un autre angle.
Une rupture d’opinion
Le jeu concurrentiel s’ouvre avec Ivoire. Le secteur brassicole connait un changement. Les raisonnements du genre « la bière c’est l’eau de maïs » sont chassés par l’introduction du riz en termes d’intrants de production. Le format 60 Cl fait repousser quant à lui les 100 Cl ordinaires. Puis les marketeurs du secteur se voient presque contraints d’entrer au’’ bois sacré’’ …La suite est connue.
Un événementiel consistant autour de la marque
Pour son an 1, les amateurs de la bière ont eu droit à quasiment 12 moins de festivités qui ont débouché d’ailleurs sur le Fest’Ivoire, un concept, une institution. Chemin faisant, Ivoire Zouglou CI, concerts gratuits pour les fans, incubateur de formatage de chanteurs en herbe en artistes confirmés.
Le power branding, la gamefication…prennent une autre allure
2 ans avant sa naissance, le branding des points de vente ne courraient pas les rues. Les jeux concours faisant des gagnants de voiture, d’argent de poche, de tricycles, non plus. Mais depuis sa naissance, Ivoire a suscité un rafraichissement ‘’complet’’ de nos sites de détente et de partage. Ils sont désormais beaux ses espaces : maquis, buvettes, caves, bistrots, restaurants etc. A Abidjan on dit « c’est zoh ! » Avec en prime, le développement du business des acteurs du domaine.
Puis l’on a vu que de simples capsules pouvaient octroyer des bolides, des maquis clés en mains voire des villas. Ivoire a ‘’soutra (Ndlr : décanter la situation) ’’ plein de consommateurs via le jeu ‘’Ivoire Soutra’’. Les gadgets (capsules, tee-shirts, plateau, chasubles…) deviennent eux aussi monnaie courante dans le milieu.
Le corporate prend corps avec Ivoire
Abissa, Yahé festival, fêtes de génération, ‘’Paquînou’’, After-work, l’appui aux initiatives culturelles fait l’objet de compétition dans le milieu. La Rse prend aussi les devants avec une avalanche d’actions caritatives, des dons. Bouaké avec sa pénurie d’eau, Bouaflé avec sa crue d’eau pour ne prendre que ces exemples, Abidjan avec ses inondations, en ont bénéficié.
Enjaillement, générosité au service du développement social
L’utile, le riz local mis en valeur, l’agréable, le projet Krispi. C’est -à-dire 12 500 tonnes de riz blanchi et tracé orientées vers le marché national pour commercialisation, 3000 producteurs cooptés et formés aux bonnes pratiques agricoles respectueuses de l’environnement, hausse de revenus d’au moins 25 % garantie.
A l’occasion de sa 2ème bougie, un Soukoya party s’est opéré au siège de Brassivoire. Au détour d’un entretien téléphonique, nous avons arraché ces mots à Martine Gatabazi, la nouvelle Directrice Marketing de la brasserie : « Nous sommes fiers d’avoir conquis le cœur des Ivoiriens. Ivoire, votre bière de qualité brassée chez et pour vous, vous dit merci…L’aventure ne fait que commencer » Assure-t-elle.
Marius Aka Fils